Si j'ai perdu le désir de parler,
je n'ai pas perdu l'envie de répondre.
Si j'ai perdu le désir d'écrire,
je n'ai pas perdu la grâce de la créativité spontanée.
Si j'ai perdu l'illusion du savoir,
je n'ai pas perdu l'amour de la connaissance.
Si j'ai perdu le désir d'enseigner,
je n'ai pas perdu le bonheur de partager.
Si j'ai perdu la soif d'apprendre,
je n'ai pas perdu le plaisir de la découverte.
Si j'ai perdu le désir de m'affirmer,
je n'ai pas perdu la joie d'exister.
Si j'ai perdu de désir d’agir,
je n'ai pas perdu l'instinct de l'action juste.
Si j'ai perdu le désir d'aider,
je n'ai pas perdu la compassion qui fait écho à la demande de l'autre.
Si j'ai perdu le désir de paraître,
je n'ai pas perdu l'acceptation bienveillante de ce que je suis.
Si j'ai perdu le désir d’un ailleurs,
je n'ai pas perdu l'attrait à me laisser conduire là où il faut être.
Si j'ai perdu le désir d'une vie réussie par ambition,
je n'ai pas perdu le goût de devenir ce que demain voudra.
Si j'ai perdu le désir d'attendre de l'autre ma complétude,
je n'ai pas perdu l'agrément à vivre des relations d'harmonie.
Si j'ai perdu le désir de reconnaissance,
je n'ai pas perdu le bien-être à se trouver en communion d’esprit.
Si j'ai perdu le désir de quête,
je n'ai pas perdu l'émerveillement devant l'intériorité qui se dévoile.
Si j’ai perdu le désir même des désirs,
je n’ai pas perdu la félicité de ceux que la vie veut bien m’offrir.
Nil
je n'ai pas perdu l'envie de répondre.
Si j'ai perdu le désir d'écrire,
je n'ai pas perdu la grâce de la créativité spontanée.
Si j'ai perdu l'illusion du savoir,
je n'ai pas perdu l'amour de la connaissance.
Si j'ai perdu le désir d'enseigner,
je n'ai pas perdu le bonheur de partager.
Si j'ai perdu la soif d'apprendre,
je n'ai pas perdu le plaisir de la découverte.
Si j'ai perdu le désir de m'affirmer,
je n'ai pas perdu la joie d'exister.
Si j'ai perdu de désir d’agir,
je n'ai pas perdu l'instinct de l'action juste.
Si j'ai perdu le désir d'aider,
je n'ai pas perdu la compassion qui fait écho à la demande de l'autre.
Si j'ai perdu le désir de paraître,
je n'ai pas perdu l'acceptation bienveillante de ce que je suis.
Si j'ai perdu le désir d’un ailleurs,
je n'ai pas perdu l'attrait à me laisser conduire là où il faut être.
Si j'ai perdu le désir d'une vie réussie par ambition,
je n'ai pas perdu le goût de devenir ce que demain voudra.
Si j'ai perdu le désir d'attendre de l'autre ma complétude,
je n'ai pas perdu l'agrément à vivre des relations d'harmonie.
Si j'ai perdu le désir de reconnaissance,
je n'ai pas perdu le bien-être à se trouver en communion d’esprit.
Si j'ai perdu le désir de quête,
je n'ai pas perdu l'émerveillement devant l'intériorité qui se dévoile.
Si j’ai perdu le désir même des désirs,
je n’ai pas perdu la félicité de ceux que la vie veut bien m’offrir.
Nil